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Revision [18031]

Last edited on 2019-10-15 11:15:19 by JeanLouis
Additions:
Ce personnage est le prétendu destinataire d'une lettre fictive d'informations secrètes permettant avec un tas d'autres tout aussi fictives de suivre l'histoire générale de l'Europe au siècle de Louis XIV, de parler des rapports que l'Occident chrétien put entretenir avec les arabes musulmans et les juifs depuis la Renaissance. Courtisé par les espions en poste en France, Hassan Amiel est un turc responsable d'un régiment d'élite de l'infanterie ottomane, unité tout à fait réelle qui fut malheureusement connue entre le XIVème S. et le début du XIXème S. Le terme d' "Aga des Janissaires" lui est donné comme titre officiel : l'aga désigne sa fonction de chef suprême de cette armée; les Janissaires étaient à l'origine et seront pendant longtemps des esclaves d'origine chrétienne rééduqués, convertis de force à l'islam; ils seront employés à combattre les mécréants au nom de cette religion ! Une technique toujours actuelle, non ? La lettre en question supposée avoir été rédigée en 1689 expose en un premier temps la politique française en Europe alors qu'en 1683 avait eu lieu la fameuse victoire de Lépante contre les Turcs, puis son auteur y vante les mérites et la grandeur du roi Louis le Grand, son éclat, sa force, ses manœuvres politiques. (cf. "L'espion dans les cours des princes chrétiens" T. VIII Giovanni Paolo Marana; Amsterdam, 1756). C'est un temps (1688) où Louis XIV vient de déclencher les hostilités contre la Ligue d'Augsbourg ou Sainte Ligue qui réunit les puissances européennes en Europe Centrale depuis plus d'un siècle pour lutter contre la mainmise turque en Europe chrétienne. Le sultan turc avait déjà menacé Vienne en 1663 mais la France ne se ligua pas, elle fit même le contraire; ses intérêts commerciaux avec l'Orient comme hégémoniques en Europe centrale conduisirent en effet sa diplomatie à se rapprocher de la Sublime Porte turque. L'alliance franco-turque rétablit une sorte d'équilibre pour cette guerre qui ne se termina qu'en 1697 par le Traité de Ryswick. Là aussi se termine ce rapprochement franco-turc comme la confiance du sultan envers le "roi très chrétien", contact qui dès lors s'étiola, ce dont l'Angleterre tirera grand profit, la politique comme la nature ayant horreur du vide !
Deletions:
Ce personnage est le prétendu destinataire d'une lettre fictive d'informations secrètes permettant avec un tas d'autres tout aussi fictives de suivre l'histoire générale de l'Europe au siècle de Louis XIV, de parler des rapports que l'Occident chrétien put entretenir avec les arabes musulmans et les juifs depuis la Renaissance. Courtisé par les espions en poste en France, Hassan Amiel est un turc responsable d'un régiment d'élite de l'infanterie ottomane, unité tout à fait réelle qui fut malheureusement connue entre le XIVème S. s et le début du XIXème S. Le terme d' "Aga des Janissaires" lui est donné comme titre officiel : l'aga désigne sa fonction de chef suprême de cette armée; les Janissaires étaient à l'origine et seront pendant longtemps des esclaves d'origine chrétienne rééduqués, convertis de force à l'islam qui seront employés à combattre les mécréants au nom de cette religion ! Une technique toujours actuelle, non ? La lettre en question supposée avoir été rédigée en 1689 expose en un premier temps la politique française en Europe alors qu'en 1683 avait eu lieu la fameuse victoire de Lépante contre les Turcs, puis son auteur y vante les mérites et la grandeur du roi Louis le Grand, son éclat, sa force, ses manœuvres politiques. (cf. "L'espion dans les cours des princes chrétiens" T. VIII Giovanni Paolo Marana; Amsterdam, 1756). C'est un temps (1688) où Louis XIV vient de déclencher les hostilités contre la Ligue d'Augsbourg ou Sainte Ligue qui réunit les puissances européennes en Europe Centrale depuis plus d'un siècle pour lutter contre la mainmise turque en Europe chrétienne. Le sultan turc avait déjà menacé Vienne en 1663 mais la France ne se ligua pas, elle fit même le contraire; ses intérêts commerciaux avec l'Orient comme hégémoniques en Europe centrale conduisirent en effet sa diplomatie à se rapprocher de la Sublime Porte turque. L'alliance franco-turque rétablit une sorte d'équilibre pour cette guerre qui ne se termina qu'en 1697 par le Traité de Ryswick. Là aussi se termine ce rapprochement franco-turc comme la confiance du sultan envers le "roi très chrétien", contact qui dès lors s'étiola, ce dont l'Angleterre tirera grand profit, la politique comme la nature ayant horreur du vide !


Revision [17586]

Edited on 2019-07-24 17:06:07 by JeanLouis
Additions:
Dans la dédicace de "The Chronicles of the Mira" (Writers Exchange, E. Publ. Atherton QLD, Usa, 2011) le même auteur insiste sur ses remerciements pour ce nom Amiel : //And to all the people Amiel has so strategically placed in my path : I thank Him// (God) //for placing you there.//, 'A tous ceux nommés Amiel si stratégiquement placés sur mon chemin, je remercie Dieu de les avoir placé là', ces chroniques citant en effet souvent le nom Amiel. Voilà une dédicace exceptionnelle relative à notre nom que je ne saurai renier !
"L'épreuve des eaux amères" est un récit moralisateur comme il y en eut tant au XIXème S.; illustration de ce que son auteur nomme dans son sous-titre "la loi de jalousie" il montre un trait des mœurs de la tradition juive antique. Le jeune Ammiel, 18 ans, est un orphelin recueilli par un juif pieux et très riche nommé Hophin et ce garçon parait convoiter la jeune épouse de son père adoptif ! Mais s'ils s'aiment c'est d'un amour fraternel car on apprendra qu'ils sont tout simplement frère et sœur...Ezèle qui est cette sœur et épouse sortira heureusement saine et sauve de ce piège du hasard, sorte d'épreuve religieuse biblique destinée à la manière de l'ancien testament à faire éclater la vérité. (récit de Mme Eugénie Foa in "Le Journal des demoiselles" 9ème année, n°1, Paris, 1841). Ce conte religieux ingénieux semble avoir été connu car il fut repris quelques années plus tard en anglais dans "The eclectic magazine" Foreign littérature, Vol. 2 de J Holmes Agnew & W. H. Bidewell avec ce titre : National customs (illustration of) n°1 hebrew "translated from the modern sanscrit ...." ; Philadelphie, Leavitt, trow & Co., 1844).
C'est le livre d'un anglais qui essaie de comprendre ce qu'il appelle la "complexe et contradictoire société française, le pays d'Astérix, Descartes, Proust et Brigitte Bardot". Théodore Zeldin, c'est lui qui nous ausculte, parle dans un des chapitres de "The French" de la façon d'apprécier une grand-mère et dans le début cite l'exemple d'une famille, audoise depuis longtemps, 115ans dit-il, d'une certaine Mme Bourrel dont le nom de jeune fille est Amiel et qui abrite l'ancêtre Pierre Amiel, 95 ans. Son patronyme lui venant d'un plus ancien qui revint de Moscou avec les débris de l'armée impériale de Napoléon Ier en 1813 ou 14 il ne sait plus bien. Et Pierre aurait dû devenir notaire comme ses prédécesseurs sauf que sa vie n'en a pas décidé ainsi. Ratant ses études il devint producteur et négociant en vins mais il fit faillite et ses vignes furent vendues l'une après l'autre, peu en réchappèrent. Il voulut alors devenir écrivain mais personne ne voulut éditer sa prose naissante; finalement il se mit à aider les autres, à éduquer ses enfants, à prévenir en bon père de famille les confrontations familiales; propageant ce que l'on peut appeler sa philosophie de vie, il laissa sa place de chef de famille à sa fille cadette Colette. Colette est cette grand'mère qui fait l'objet de ce chapitre familial français; l'unité de base sociale disséquée par un anglais, ce n'est pas peu dire.
Personnage apparaissant tardivement dans "1776 : Son of Liberty (Young Founders) A novel of the American Revolution" d'Elisabeth Massie (2013). L'histoire on le sait a retenu plusieurs Amiel de cette période d'émancipation américaine.
Non, ce n'est qu'une fiction historique utilisée par son auteur dans "Le prince Mephiboscheth". Roland Buyck narre la vie de ce prince, fils du roi Saül, adversaire de David, Ritspa est sa mère. La référence biblique afférente est dans le 2ème Livre de Samuel mais on n'y parle pas en cet endroit (3,4) d'Amiel. Cet Amiel c'est le père de Bethsabée; mais il est cité ici en tant que fils d'Achitophel et c'est pour les besoins de la narration que l'auteur a pensé le faire amant de cette femme Ritspa afin de justifier son rapprochement avec David dont il deviendra le principal conseiller. Citation p.199 : c'est "après avoir été déçu de ce que Saül avait fait à Ritspa en la prenant comme concubine alors qu'elle était enceinte [par Achitophel NDLA] d'Amiel, son fils, (qu') il [Achitophel] s'était rallié et donné corps et âme au nouveau roi". On sait que David va aussi décevoir le même Achitophel par son adultère avec sa petite-fille Bethsabée...Mais il y a là confusion entre les deux Amiel de cette période : l'on sait que Mephiboscheth fut recueilli à la mort de Saül dans la maison de Machir, fils d'Amiel, mais il s'agit d'Amiel dit de Lodabar, lequel n'est pas du tout le fils d'Achitophel ! Revoyez donc ces relations dans la partie hébreux !
Le roman auvergnat de Jean Anglade "Un front de marbre" (Julliard, Paris, 1970) cite de nombreuses fois le pseudo-toponyme "Les Ameils"; lieu-dit qu'il situe en Basse-Auvergne, près de Valdore. Il existe bien un Val Dore près d'Ambert (63) mais pas de lieu-dit Les Ameils. Il faut sans doute voir en ce nom un toponyme de la Creuse; l'évocation du patronyme Ameil est lui, bien auvergnat.
Deletions:
Dans la dédicace de "The Chronicles of the Mira" (Writers Exchange, E. Publ. Atherton QLD, Usa, 2011) le même auteur insiste sur ses remerciements pour ce nom Amiel : //And to all the people Amiel has so strategically placed in my path : I thank Him// (God) //for placing you there.//, ces chroniques citant en effet souvent le nom Amiel.
"L'épreuve des eaux amères" est un récit moralisateur comme il y en eut tant au XIXème S.; illustration de ce que son auteur nomme dans son sous-titre "la loi de jalousie" il montre un trait des mœurs de la tradition juive antique. Le jeune Ammiel, 18 ans, est un orphelin recueilli par un juif pieux et très riche nommé Hophin et ce garçon parait convoiter la jeune épouse de son père adoptif ! Mais s'ils s'aiment c'est d'un amour fraternel car on apprendra qu'ils sont tout simplement frère et sœur...Ezèle qui est cette sœur et épouse sortira heureusement saine et sauve de ce piège du hasard, sorte d'épreuve religieuse biblique destinée à la manière de l'ancien testament à faire éclater la vérité. (récit de Mme Eugénie Foa in "Le Journal des demoiselles" 9ème année, n°1, Paris, 1841). Ce conte religieux semble avoir été connu car il fut repris quelques années plus tard en anglais dans "The eclectic magazine" Foreign littérature, Vol. 2 de J Holmes Agnew & W. H. Bidewell avec ce titre : National customs (illustration of) n°1 hebrew "translated from the modern sanscrit ...." ; Philadelphie, Leavitt, trow & Co., 1844).
C'est le livre d'un anglais qui essaie de comprendre ce qu'il appelle la "complexe et contradictoire société française, le pays d'Astérix, Descartes, Proust et Brigitte Bardot". Théodore Zeldin, c'est lui qui nous ausculte, parle dans un des chapitres de "The French" de la façon d'apprécier une grand-mère et dans le début cite l'exemple d'une famille, audoise depuis longtemps, 115ans dit-il, d'une certaine Mme Bourrel dont le nom de jeune fille est Amiel et qui abrite l'ancêtre Pierre Amiel, 95 ans. Son patronyme lui venant d'un plus ancien qui revint de Moscou avec les débris de l'armée impériale de Napoléon Ier en 1813 ou 14 il ne sait plus bien. Et Pierre aurait dû devenir notaire comme ses prédécesseurs sauf que sa vie n'en a pas décidé ainsi. Ratant ses études il devint producteur et négociant en vins mais il fit faillite et ses vignes furent vendues l'une après l'autre, peu en réchappèrent. Il voulut alors devenir écrivain mais personne ne voulut éditer sa prose naissante; finalement il se mit à aider les autres, à éduquer ses enfants, à prévenir en bon père de famille les confrontations familiales; propageant ce que l'on peut appeler sa philosophie de vie, il laissa sa place de chef de famille à sa fille cadette Colette. Colette est cette grand'mère qui fait l'objet de ce chapitre familial français, l'unité de base sociale disséquée par un anglais, ce n'est pas peu dire.
Personnage apparaissant tardivement dans "1776 : Son of Liberty (Young Founders) A novel of the American Revolution" d'Elisabeth Massie (2013).
Non, ce n'est qu'une fiction historique utilisée par son auteur dans "Le prince Mephiboscheth". Roland Buyck narre la vie de ce prince, fils du roi Saül, adversaire de David, Ritspa est sa mère. La référence biblique afférente est dans le 2ème Livre de Samuel mais on n'y parle pas en cet endroit (3,4) d'Amiel. Cet Amiel est dans cette fiction le père de Bethsabée; il y est cité en tant surtout que fils d'Achitophel et c'est pour les besoins de la narration que l'auteur a pensé le faire amant de cette femme afin de justifier son rapprochement avec David dont il deviendra le principal conseiller. Citation p.199 : c'est "après avoir été déçu de ce que Saül avait fait à Ritspa en la prenant comme concubine alors qu'elle était enceinte d'Amiel, son fils, (qu') il s'était rallié et donné corps et âme au nouveau roi". On sait que David va aussi le décevoir par son adultère avec sa petite-fille Bethsabée...Mais il y a là confusion entre les deux Amiel de cette période : l'on sait que Mephiboscheth fut recueilli à la mort de Saül dans la maison de Machir, fils d'Amiel, mais il s'agit d'Amiel dit de Lodabar, lequel n'est pas du tout le fils d'Achitophel !
Le roman auvergnat de Jean Anglade "Un front de marbre" (Julliard, Paris, 1970) cite de nombreuses fois le pseudo-toponyme "Les Ameils"; lieu-dit qu'il situe en Basse-Auvergne, près de Valdore. Il existe bien un Val Dore près d'Ambert (63) mais pas de lieu-dit Les Ameils. Il faut sans doute voir en ce toponyme l'évocation du patronyme Ameil qui, lui, est bien auvergnat.


Revision [16784]

Edited on 2018-11-03 16:44:54 by JeanLouis
Additions:
Ce roman des temps d'Abram, alors donc que Dieu n'avait pas encore modifié son nom en Abraham, alors que les différents éléments de ce qui n'était pas encore le peuple hébreu était pérégrin, sans terre fixe et définitive, un jeune berger du nom d'Ammiel, nom peu probable alors si l'on s'en réfère à son sens de "peuple de mon Dieu" mais possible s'il l'on pense à sa première signification de "le dieu El est mon oncle", est l'un des personnages de cette composition pseudo-historique que l'auteur fait vivre dans la région du village de Mamre. Ce village de Palestine est connu pour avoir abrité Abram dans un bosquet de chênes dit la Genèse (13, 18) et près duquel il aurait eu son tombeau, du côté d'Hébron. Ammiel est un gardien de troupeau sur la route caravanière qui passe près de ce lieu. Il semble s'être enfui de... Sodome, cité pour laquelle Abraham essaiera d'intercéder afin de protéger les quelques 'justes' qui s'y trouveraient (Genèse 18, 16 -33) de la colère divine suite aux mœurs dissolues de ses habitants, de même pour Gomorrhe. ("Abram and Saraï" J. Servaas Williams, Corinth House, 1981).
Deletions:
Ce roman des temps d'Abram, alors donc que Dieu n'avait pas encore modifié son nom en Abraham, alors que les différents éléments de ce qui n'était pas encore le peuple hébreu était pérégrin, sans terre fixe et définitive, un jeune berger du nom d'Ammiel, nom peu probable alors si l'on s'en réfère à son sens de "peuple de mon Dieu" mais possible s'il l'on pense à sa première signification de "le dieu El est mon oncle", est l'un des personnages de cette composition pseudo-historique que l'auteur fait vivre dans la région du village de Mamre. ("Abram and Saraï" J. Servaas Williams, Corinth House, 1981). Ce village de Palestine est connu pour avoir abrité Abram dans un bosquet de chênes dit la Genèse et près duquel il aurait eu son tombeau, du côté d'Hébron.


Revision [16779]

Edited on 2018-11-03 16:03:47 by JeanLouis
Additions:
Ce même prince est cité dans "Moses" (p.156), roman historico-religieux de Ch. Morgan (2009).
Deletions:
Ce même prince est cité dans "Moses", roman historico-religieux de Ch. Morgan (2009).


Revision [16709]

Edited on 2018-07-18 17:36:43 by JeanLouis
Additions:
Un Amiel avec sa mère, sa maison (un moulin), son jardin et sa chatte marron à poil court sont décrits dans le roman "Jeunesse gâchée" de Rose Mendy. Un autre personnage, féminin, porte le nom de Mélia qui est un anagramme d'Amiel. Amiel et son amoureuse nommée Fenoène travaillent à l'écomusée local et vivent au moulin. Court roman de 150p. (Edilivre, 2017).
**"LES AMEILS en AUVERGNE** :
Le roman auvergnat de Jean Anglade "Un front de marbre" (Julliard, Paris, 1970) cite de nombreuses fois le pseudo-toponyme "Les Ameils"; lieu-dit qu'il situe en Basse-Auvergne, près de Valdore. Il existe bien un Val Dore près d'Ambert (63) mais pas de lieu-dit Les Ameils. Il faut sans doute voir en ce toponyme l'évocation du patronyme Ameil qui, lui, est bien auvergnat.
Deletions:
Un Amiel avec sa mère, sa maison (un moulin), son jardin et sa chatte marron à poil court sont décrits dans le roman "Jeunesse gâchée" de Rose Mendy. Un autre personnage, féminin, porte le nom de Mélia qui est un anagramme d'Amiel. Amiel et son amoureuse nommée Fenoène travaillent à l'écomusée local et vivent au moulin. Court roman de 150p. (Edilivre, 2017).


Revision [16705]

Edited on 2018-07-18 16:39:08 by JeanLouis
Additions:
Le célèbre cardinal audois du XIVème S. est l'ami bien oublié du personnage narrateur d'un roman historique régional de Michel Peyramaure "La tour des anges" (Robert Laffont, 2000).
**AMIEL & MELIA** :
Un Amiel avec sa mère, sa maison (un moulin), son jardin et sa chatte marron à poil court sont décrits dans le roman "Jeunesse gâchée" de Rose Mendy. Un autre personnage, féminin, porte le nom de Mélia qui est un anagramme d'Amiel. Amiel et son amoureuse nommée Fenoène travaillent à l'écomusée local et vivent au moulin. Court roman de 150p. (Edilivre, 2017).
Deletions:
Le célèbre cardinal audois du XIVème S. est l'ami bien oublié du personnage narrateur d'un roman historique régional de Michel Peyramaure "La tour des anges" (Robert Laffont, 2000).


Revision [16153]

The oldest known version of this page was created on 2017-10-16 16:50:22 by JeanLouis
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