Revision history for occsei712


Revision [18032]

Last edited on 2019-10-15 14:00:00 by JeanLouis
Additions:
- Vieille famille de marchands chauriens (de Castelnaudary (11)) et surtout de Toulouse, connue entre les XII et XVIIèmes S., de bourgeois ayant donné de multiples capitouls à cette dernière. Ils possédaient déjà la seigneurie de Ferrals près de St Papoul lorsque elle se lia par un mariage en 1484 avec la famille noble de Vaudreuille (près de Revel (31), union qui lui permit de posséder la seigneurie de Tréville (11), petit territoire seigneurial du Lauragais située à mi-chemin de Castelnaudary et Revel sur les ultimes légères pentes de la Montagne Noire, seigneurie qu'ils garderont longtemps jusqu'à ce que la dernière descendante, Claire d'Amiel, épouse en 1590 un seigneur d'une famille éteinte des diocèses de Lodève et Lavaur, Marc-Guillaume de Bedos (cf. Dictionnaire de la Noblesse de France De La Chesnaye-Desbois 1783 et Bulletin de la Soc. d'Etudes Sc. de l'Aude. Vol. 46-47, 1943). Pour autant le nom d' "Amiel de Tréville" ne se perdra pas puisque on trouve par exemple Jean Amiel de Tréville propriétaire de biens fonciers à Béziers en 1709 (Compoix de Béziers entre 1398 et 1790); ils seront alliés à d'autres familles seigneuriales de la région comme les de Verzeille au XVIème S. et le patronyme a été repéré bien plus tard à Alger pour un français qui y était établi à la fin du XIXème S. Un simple Mr Amiel, intitulé "contrôleur des contributions directes" désirera même en "relever" le nom, comme l'on dit pour la noblesse, en 1853.....
Deletions:
- Vieille famille de marchands chauriens (de Castelnaudary (11)) et surtout de Toulouse, connue entre les XII et XVIIèmes S., de bourgeois ayant donné de multiples capitouls à cette dernière, elle se lia par un mariage avec la famille noble de Vaudreuille (près de Revel (31), union qui lui permit de posséder la seigneurie de Tréville (11), petit territoire seigneurial du Lauragais située à mi-chemin de Castelnaudary et Revel sur les ultimes légères pentes de la Montagne Noire, seigneurie qu'ils garderont longtemps jusqu'à ce que la dernière descendante, Claire d'Amiel, épouse en 1590 un seigneur d'une famille éteinte des diocèses de Lodève et Lavaur, Marc-Guillaume de Bedos (cf. Dictionnaire de la Noblesse de France De La Chesnaye-Desbois 1783 et Bulletin de la Soc. d'Etudes Sc. de l'Aude. Vol. 46-47, 1943). Pour autant le nom d' "Amiel de Tréville" ne se perdra pas puisque on trouve par exemple Jean Amiel de Tréville propriétaire de biens fonciers à Béziers en 1709 (Compoix de Béziers entre 1398 et 1790); ils seront alliés à d'autres familles seigneuriales de la région comme les de Verzeille au XVIème S. et le patronyme a été repéré bien plus tard à Alger pour un français qui y était établi à la fin du XIXème S. Un simple Mr Amiel, intitulé "contrôleur des contributions directes" désirera même en "relever" le nom, comme l'on dit pour la noblesse, en 1853.....


Revision [17923]

Edited on 2019-09-18 15:53:05 by JeanLouis
Additions:
**WILLELMUS AMELII donateur de ST VICTOR DE MARSEILLE** : (nom repris dans l'article Amelii et Amiel à Marseille, page personnages ordinaires qui suit)
Deletions:
**WILLELMUS AMELII donateur de ST VICTOR DE MARSEILLE** :


Revision [17921]

Edited on 2019-09-18 14:16:52 by JeanLouis
Additions:
La famille de Benoist toujours présente en Languedoc et qui possède de nombreuses branches comme les De Benoist de la Prunarède, eut pour premier représentant connu un Amiel de Benoist. Cet homme fut un religieux de la fameuse abbaye de Lézat en Basse-Ariège dont tant d'Amelius soutinrent les débuts; on a vu que c'est le nom qui revient le plus souvent avec Benoît dans le cartulaire de cette abbaye au Xème S. alors qu'au siècle suivant il n'est plus que le 7ème cité (cf. "L'anthroponymie..." M. Bourin, J.M. Martin, F. Menant.; Ecole Française de Rome, Palais Farnèse, 1996). Il est nommé dans une notice sur l'origine de l'abbaye de Peyrissas (diocèse de Toulouse) dépendante de Lézat, vers l'an 1075 ( cf cartulaire de Lézat et Don Vaissette HGL). En 1164 Guillaume de Benoist qui est à l'origine de la descendance jusqu'à nos jours, fut le témoin d'une concession entre plusieurs seigneurs pour l'abbaye de Sylvanès (12). Parmi les témoins de cet acte on trouve le nom d' 'Amalric de Boisesson', un nom qui curieusement est écrit bien différemment 'Guillaume Amiel de Boscsedon' dans une charte de l'abbaye de Valmagne daté de 1147 mais c'est le même. Ici transparaît bien tardivement mais effectivement l'une des origines peu documentée de notre nom, celle relative aux Wisigoths (voir Le Monde des Amiel). La proximité étymologique entre Amalric et Amiel pour ce qui concerne cette origine (des Amales goths + ric, roi) et l'assimilation dont ils firent preuve dans beaucoup de domaines dont ici celui des origines romaines (via les Aemilius latins et gallo-romains) passant d'Amali à Amilius, Amelius, Amiel dans leur sphère wisigothique locale des VI et VIIèmes S. où ils vécurent, c-à-d en Septimanie (en gros bas-languedoc actuel), transparaît par cette équivalence de noms. D'ailleurs comme Amiel, Amalric ou Malric, Alric sont des patronymes bien vivants toujours en Languedoc. Enfin le géopatronyme de Boscsedon ou Boisesson correspond à un château de l'Albigeois. (cf. H. G. L de Don de Vic & Don Vaissette).
Deletions:
La famille de Benoist toujours présente en Languedoc et qui possède de nombreuses branches comme les De Benoist de la Prunarède, eut pour premier représentant connu un Amiel de Benoist. Cet homme fut un religieux de la fameuse abbaye de Lézat en Basse-Ariège dont tant d'Amelius soutinrent les débuts; on a vu que c'est le nom qui revient le plus souvent avec Benoît dans le cartulaire de cette abbaye au Xème S. alors qu'au siècle suivant il n'est plus que le 7ème cité (cf. "L'anthroponymie..." M. Bourin, J.M. Martin, F. Menant.; Ecole Française de Rome, Palais Farnèse, 1996). Il est nommé dans une notice sur l'origine de l'abbaye de Peyrissas (diocèse de Toulouse) dépendante de Lézat, vers l'an 1075 ( cf cartulaire de Lézat et Don Vaissette HGL). En 1164 Guillaume de Benoist qui est à l'origine de la descendance jusqu'à nos jours, fut le témoin d'une concession entre plusieurs seigneurs pour l'abbaye de Sylvanès (12). Parmi les témoins de cet acte on trouve le nom d' 'Amalric de Boisesson', un nom qui curieusement est écrit bien différemment 'Guillaume Amiel de Boscsedon' dans une charte de l'abbaye de Valmagne daté de 1147 mais c'est bien le même. Ici transparaît bien tardivement mais bien effectivement l'une des origines peu documentée de notre nom, celle relative aux Wisigoths (voir Le Monde des Amiel). La proximité étymologique entre Amalric et Amiel pour ce qui concerne cette origine (des Amales goths + ric, roi) et l'assimilation dont ils firent preuve dans beaucoup de domaines dont ici celui des origines romaines (via les Aemilius latins et gallo-romains) passant d'Amali à Amilius, Amelius, Amiel dans leur sphère wisigothique locale des VI et VIIèmes S. où ils vécurent, c-à-d en Septimanie (en gros bas-languedoc actuel), transparaît bien par cette équivalence de noms. D'ailleurs comme Amiel, Amalric ou Malric, Alric sont des patronymes bien vivants toujours en Languedoc. Enfin le géopatronyme de Boscsedon ou Boisesson correspond à un château de l'Albigeois. (cf. H. G. L de Don de Vic & Don Vaissette).


Revision [17379]

Edited on 2019-06-30 11:06:54 by JeanLouis
Additions:
- Vieille famille de marchands chauriens (de Castelnaudary (11)) et surtout de Toulouse, connue entre les XII et XVIIèmes S., de bourgeois ayant donné de multiples capitouls à cette dernière, elle se lia par un mariage avec la famille noble de Vaudreuille (près de Revel (31), union qui lui permit de posséder la seigneurie de Tréville (11), petit territoire seigneurial du Lauragais située à mi-chemin de Castelnaudary et Revel sur les ultimes légères pentes de la Montagne Noire, seigneurie qu'ils garderont longtemps jusqu'à ce que la dernière descendante, Claire d'Amiel, épouse en 1590 un seigneur d'une famille éteinte des diocèses de Lodève et Lavaur, Marc-Guillaume de Bedos (cf. Dictionnaire de la Noblesse de France De La Chesnaye-Desbois 1783 et Bulletin de la Soc. d'Etudes Sc. de l'Aude. Vol. 46-47, 1943). Pour autant le nom d' "Amiel de Tréville" ne se perdra pas puisque on trouve par exemple Jean Amiel de Tréville propriétaire de biens fonciers à Béziers en 1709 (Compoix de Béziers entre 1398 et 1790); ils seront alliés à d'autres familles seigneuriales de la région comme les de Verzeille au XVIème S. et le patronyme a été repéré bien plus tard à Alger pour un français qui y était établi à la fin du XIXème S. Un simple Mr Amiel, intitulé "contrôleur des contributions directes" désirera même en "relever" le nom, comme l'on dit pour la noblesse, en 1853.....
Deletions:
- Vieille famille de marchands chauriens (de Castelnaudary (11)) et surtout de Toulouse, connue entre les XII et XVIIèmes S., de bourgeois ayant donné de multiples capitouls à cette dernière, elle se lia par un mariage avec la famille noble de Vaudreuille (près de Revel (31), union qui lui permit de posséder la seigneurie de Tréville (11), petit territoire seigneurial du Lauragais située à mi-chemin de Castelnaudary et Revel sur les ultimes légères pentes de la Montagne Noire, seigneurie qu'ils garderont longtemps jusqu'à ce que la dernière descendante, Claire d'Amiel, épouse en 1590 un seigneur d'une famille éteinte des diocèses de Lodève et Lavaur, Marc-Guillaume de Bedos (cf. Dictionnaire de la Noblesse de France De La Chesnaye-Desbois 1783 et Bulletin de la Soc. d'Etudes Sc. de l'Aude. Vol. 46-47, 1943). Pour autant le nom d' "Amiel de Tréville" ne se perdra pas puisque on trouve par exemple Jean Amiel de Tréville propriétaire de biens fonciers à Béziers en 1709 (Compoix de Béziers entre 1398 et 1790); ils seront alliés à d'autres familles seigneuriales de la région comme les de Verzeille au XVIème S. et le patronyme a été repéré bien plus tard à Alger pour un français qui y était établi à la fin du XIXème S.


Revision [16702]

Edited on 2018-07-18 16:12:01 by JeanLouis
Additions:
**Les AMIEL DE MIRAMON** près de RODEZ (12) :
Le cartulaire de l'abbaye de La Selve (disparue) proche de Rodez mentionne une donation vers 1160 faite par Amiel de Miramon à cette institution. Il possédait de nombreux droits sur des terres situées entre le Cone et le Céor (cours d'eau) vers Rullac, dans le terroir de Meljac. Un autre du même nom est cité un demi-siècle plus tard; noté Ameils dans le texte, il s'agit d'une donation qu'il fait de son droit de passage, de forestage et d'abreuvage à l'abbaye de Bonnecombe, en Rouergue.
Deletions:
**AMIEL DE MIRAMON** près de RODEZ (12) :
Le cartulaire de l'abbaye de La Selve (disparue) proche de Rodez mentionne une donation vers 1160 faite par Amiel de Miramon à cette institution. Il possédait de nombreux droits sur des terres situées entre le Cone et le Céor (cours d'eau) vers Rullac, dans le terroir de Meljac.


Revision [16120]

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