Revision history for amthor15


Revision [18114]

Last edited on 2019-10-31 16:12:25 by JeanLouis
Additions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. Le terme de "Coran" qui veut dire "récite" résume par ce verbe aux accents impératifs, ce que demande principalement cette religion, l'ânonnement tout au plus, sans discernement véritable des versets coraniques; le croyant qui est dit "musulman" désigne pour sa part un "soumis" (à Allah bien sûr); enfin Mahomet (Mamadou chez les africains et Muhammad chez les anglo-saxons) c'est en vérité Mehmet, "celui qui est louangé", ce qui correspond bien à l'adulation du prophète. Pour ce qui nous intéresse particulièrement, c'est à dire le concept du père, j'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : //L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité.// La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle. //L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas //(membres)// : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, //en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. //Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, //dans le sens de prendre avec soi, //leurs messages. //Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : //les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). //On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). //Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.//
Deletions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. Le terme de "Coran" qui veut dire "récite" résume par ce verbe aux accents impératifs, ce que demande principalement cette religion, l'ânonnement tout au plus, sans discernement véritable des versets coraniques; le croyant qui est dit "musulman" désigne pour sa part un "soumis" (à Allah bien sûr); enfin Mahomet (Mamadou chez les africains et Muhammad chez les anglo-saxons) c'est en vérité Mehmet, "celui qui est louangé", ce qui correspond bien à l'adulation du prophète. Pour ce qui nous intéresse particulièrement, c'est à dire le concept du père, j'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : //L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. //D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité.// La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle. //L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas //(membres)// : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, //en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. //Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, //dans le sens de prendre avec soi, //leurs messages. //Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : //les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). //On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). //Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.//


Revision [18113]

Edited on 2019-10-31 16:09:27 by JeanLouis
Additions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. Le terme de "Coran" qui veut dire "récite" résume par ce verbe aux accents impératifs, ce que demande principalement cette religion, l'ânonnement tout au plus, sans discernement véritable des versets coraniques; le croyant qui est dit "musulman" désigne pour sa part un "soumis" (à Allah bien sûr); enfin Mahomet (Mamadou chez les africains et Muhammad chez les anglo-saxons) c'est en vérité Mehmet, "celui qui est louangé", ce qui correspond bien à l'adulation du prophète. Pour ce qui nous intéresse particulièrement, c'est à dire le concept du père, j'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : //L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. //D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité.// La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle. //L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas //(membres)// : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, //en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. //Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, //dans le sens de prendre avec soi, //leurs messages. //Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : //les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). //On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). //Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.//
Seule la raison pourrait affranchir le Coran de ce qui ne devrait plus s'y trouver mais il est hors de question depuis toujours de changer un iota du Livre saint. Pourtant "Les pires bêtes auprès de Dieu sont...[ceux] qui ne raisonnent pas" dit le verset 22 de la sourate 8 ! Et si l'on considère la période dite de l'Âge d'or musulman médiéval qui favorisa dans cette culture beaucoup de sciences entre ~850 et 1250, même si les opinions à l'égard de la parole du Coran purent parfois être assez critiques, force est de constater que finalement dans ce domaine de la religion, cela n'a profondément rien changé : ainsi Omar Khayyâm (1048 - 1122) philosophe, poète, astronome et mathématicien perse qui en est une figure put écrire : "Vous dites que des rivières de vin coulent au Paradis. Le Paradis est-il pour vous une taverne ? Vous dites que deux vierges attendent chaque croyant. Le Paradis est-il un bordel pour vous ? ....Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre."
__Pierre le Vénérable__ est un chrétien du XIIème S. et dans son temps bien entendu ces déviants de la croyance officielle furent considérés, comme tous les autres en ce temps-là, hérétiques. Il écrivit contre eux sa "Suma Haeresis Sarracenorum" (somme sur l'hérésie des sarrazins), dans laquelle Mahomet y est décrit comme un homme de basse extraction, inculte, rusé, violent, qui s'imposa par la terreur et qui tenta de devenir roi sous couvert de la religion, sa nouvelle religion, en se déclarant son (seul) prophète (cf. "Ordonner...." p.337 de Dominique Iogna-Prat). Il y note bien sûr la négation du Christ en tant que "fils de Dieu", de sa mort rédemptrice et de la Trinité, ce qui le conduira à se demander si l'Islam ne tenait pas plus de l'hérésie que du paganisme.
__Le philosophe Voltaire__ : référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel, assez curieux d'ailleurs, de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite, sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils ne nous arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" qui ont défrayé la chronique de son temps - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels pour ce qui nous concerne). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement !). Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires. Problèmes importés qui n'ont rien à voir avec la culture ancestrale des peuples de l'Europe.
Deletions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. Le terme de "Coran" qui veut dire "récite" résume par ce verbe aux d'accents impératifs, ce que demande principalement cette religion, l'ânonnement tout au plus, sans discernement véritable des versets coraniques; le croyant qui est dit "musulman" désigne pour sa part un "soumis" (à Allah bien sûr); enfin Mahomet (Mamadou chez les africains et Muhammad chez les anglo-saxons, c'est en vérité Mehmet, "celui qui est louangé" ce qui correspond bien à l'adulation du prophète. Pour ce qui nous intéresse particulièrement, c'est à dire le concept du père, j'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : //L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. //D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité. La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle. //L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas //(membres)// : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, //en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. //Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, //dans le sens de prendre avec soi, //leurs messages. //Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : //les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). //On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). //Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.//
Seule la raison pourrait affranchir le Coran de ce qui ne devrait plus s'y trouver mais il est hors de question depuis toujours de changer un iota du Livre saint. Pourtant "Les pires bêtes auprès de Dieu sont...[ceux] qui ne raisonnent pas" dit le verset 22 de la sourate 8 ! Et si l'on considère la période dite de l'Âge d'or musulman médiéval qui favorisa dans cette culture beaucoup de sciences entre ~850 et 1250, même si les opinions à l'égard de la parole du Coran purent parfois être assez critiques, force est de constater que finalement dans ce domaine de la religion, cela n'a profondément rien changé : ainsi Omar Khayyâm (1048 - 1122) philosophe, poète, astronome et mathématicien perse qui en est une figure put écrire : Vous dites que des rivières de vin coulent au Paradis. Le Paradis est-il pour vous une taverne ? Vous dites que deux vierges attendent chaque croyant. Le Paradis est-il un bordel pour vous ? ....Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre.
__Pierre le Vénérable__ est un chrétien du XIIème S. et dans son temps bien entendu ces déviants de la croyance officielle furent considérés, comme tous les autres en ce temps-là, hérétiques. Il écrivit contre eux sa "Suma Haeresis Sarracenorum" (somme sur l'hérésie des sarrazins", dans laquelle Mahomet y est décrit comme un homme de basse extraction, inculte, rusé, violent, qui s'imposa par la terreur et qui tenta de devenir roi sous couvert de la religion, sa nouvelle religion, en se déclarant son (seul) prophète (cf. "Ordonner...." p.337 de Dominique Iogna-Prat). Il y note bien sûr la négation du Christ en tant que "fils de Dieu", de sa mort rédemptrice et de la Trinité, ce qui le conduira à se demander si l'Islam ne tenait pas plus de l'hérésie que du paganisme.
__Le philosophe Voltaire__ : référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel, assez curieux d'ailleurs, de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite, sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils ne nous arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" qui ont défrayé la chronique de son temps - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels pour ce qui nous concerne). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement !). Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires. Problèmes importés qui n'ont rien à voir avec la culture ancestrale des peuples de l'Europe.


Revision [18112]

Edited on 2019-10-31 15:51:24 by JeanLouis
Additions:
__Claude Lévi-Strauss__ : l'éminent anthropologue et ethnologue contemporain de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "monument de la conscience occidentale" (selon l'historien Pierre Nora), "Tristes Tropiques" (1955), a rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui" ", ce qui rejoint ce que l'on a vu plus haut. Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Deletions:
__Claude Lévi-Strauss__ : l'éminent anthropologue et ethnologue contemporain de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui" ", ce qui rejoint ce que l'on a vu plus haut. Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.


Revision [17812]

Edited on 2019-09-08 10:38:38 by JeanLouis
Additions:
**Des avis sur l'Islam du moyen-âge à notre temps** :
__Pierre le Vénérable__ est un chrétien du XIIème S. et dans son temps bien entendu ces déviants de la croyance officielle furent considérés, comme tous les autres en ce temps-là, hérétiques. Il écrivit contre eux sa "Suma Haeresis Sarracenorum" (somme sur l'hérésie des sarrazins", dans laquelle Mahomet y est décrit comme un homme de basse extraction, inculte, rusé, violent, qui s'imposa par la terreur et qui tenta de devenir roi sous couvert de la religion, sa nouvelle religion, en se déclarant son (seul) prophète (cf. "Ordonner...." p.337 de Dominique Iogna-Prat). Il y note bien sûr la négation du Christ en tant que "fils de Dieu", de sa mort rédemptrice et de la Trinité, ce qui le conduira à se demander si l'Islam ne tenait pas plus de l'hérésie que du paganisme.
__Le philosophe Voltaire__ : référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel, assez curieux d'ailleurs, de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite, sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils ne nous arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" qui ont défrayé la chronique de son temps - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels pour ce qui nous concerne). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement !). Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires. Problèmes importés qui n'ont rien à voir avec la culture ancestrale des peuples de l'Europe.
Du même temps que Voltaire, on pourrait citer ce qu'à écrit Jean Meslier, prêtre de son état mais abhorrant toutes les religions lui aussi et celle qu'il professe en particulier, dont le philosophe connaissait dit-on par cœur les écrits. Mahomet y est traité de "faux prophète" bien sûr et on y lit qu'il a établi "ses lois et sa religion par tout l'Orient" sur des mensonges. Cet esprit "éclairé" n'y allait pas par quatre chemins comme l'on dit !
__Claude Lévi-Strauss__ : l'éminent anthropologue et ethnologue contemporain de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui" ", ce qui rejoint ce que l'on a vu plus haut. Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Raisonner est bien le propre de l'homme ! Raisonnons donc sans résonner pour autant et revenons à nos "moutons" ou plus exactement à l'histoire d'une "vache rousse" dont parle aussi bien la Torah que le Coran, un animal bien plus rare que les brebis du quotidien des juifs ou des arabes, au propre comme au figuré, comme on va le voir.
Deletions:
**Les avis du philosophe Voltaire et de l'anthropologue Lévi-Strauss** :
__Le philosophe Voltaire__ : référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", il a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement ! Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Dans le même temps que Voltaire on pourrait citer ce qu'à écrit Jean Meslier, prêtre de son état mais abhorrant toutes les religions lui aussi et celle qu'il professe en particulier, dont le philosophe connaissait dit-on par cœur les écrits. Mahomet y est traité de "faux prophète" bien sûr et il a établi "ses lois et sa religion par tout l'Orient" sur des mensonges. Cet esprit "éclairé" n'y allait pas par quatre chemins comme l'on dit !
__Claude Lévi-Strauss__ : l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui" ", ce qui rejoint ce que l'on a vu plus haut. Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Raisonner est bien le propre de l'homme ! Raisonnons donc sans résonner et revenons à nos "moutons" ou plus exactement à l'histoire d'une "vache rousse" dont parle aussi bien la Torah que le Coran, un animal bien plus rare que les brebis du quotidien des juifs ou des arabes, au propre comme au figuré, comme on va le voir.


Revision [17794]

Edited on 2019-08-28 17:00:12 by JeanLouis
Additions:
__Le philosophe Voltaire__ : référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", il a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement ! Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
__Claude Lévi-Strauss__ : l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui" ", ce qui rejoint ce que l'on a vu plus haut. Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Deletions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement ! Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.


Revision [17793]

Edited on 2019-08-28 16:52:55 by JeanLouis
Additions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. Le terme de "Coran" qui veut dire "récite" résume par ce verbe aux d'accents impératifs, ce que demande principalement cette religion, l'ânonnement tout au plus, sans discernement véritable des versets coraniques; le croyant qui est dit "musulman" désigne pour sa part un "soumis" (à Allah bien sûr); enfin Mahomet (Mamadou chez les africains et Muhammad chez les anglo-saxons, c'est en vérité Mehmet, "celui qui est louangé" ce qui correspond bien à l'adulation du prophète. Pour ce qui nous intéresse particulièrement, c'est à dire le concept du père, j'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : //L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. //D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité. La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle. //L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas //(membres)// : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, //en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. //Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, //dans le sens de prendre avec soi, //leurs messages. //Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : //les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). //On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). //Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.//
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement en total adversaire de toute religion, entre autres du fanatisme musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// (sous-entendu : seulement ! Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève (2005) de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites drastiques de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fond des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Dans le même temps que Voltaire on pourrait citer ce qu'à écrit Jean Meslier, prêtre de son état mais abhorrant toutes les religions lui aussi et celle qu'il professe en particulier, dont le philosophe connaissait dit-on par cœur les écrits. Mahomet y est traité de "faux prophète" bien sûr et il a établi "ses lois et sa religion par tout l'Orient" sur des mensonges. Cet esprit "éclairé" n'y allait pas par quatre chemins comme l'on dit !
Deletions:
Il est utile de savoir de quoi il retourne de cette religion du point de vue chrétien et plus précisément de quelques concepts dont celui du Père qui nous importe particulièrement dans notre nom juif. J'emprunte ici à l'intéressante étude "Connaissance de l'Islam" du pasteur A. R. Kayayan (rèf. en fin d'article) : L'islam est probablement la pire forme de monothéisme qui puisse exister, faisant de Dieu une pure volonté divorcée de la raison et dépourvue d'amour... Au lieu d'être une idée de progrès, il descend à un niveau inférieur à toute autre religion qu'il prétend pourtant dépasser et remplacer... Tel un monarque absolu (Dieu) il se place sur des hauteurs inaccessibles; il n'est qu'un monarque despote oriental. Il ne se soucie guère du caractère moral, mais exclusivement de la soumission de la créature. Le devoir de l'humain est de se soumettre à lui. D'ailleurs sa paternité si présente dans l'Ancien Testament est totalement absente du Coran. Il n'y a pas de paternité divine car cette théologie exclut toute relation filiale de l'homme avec la divinité. La signification hébraïque de notre nom Amiel ne peut donc se comprendre et être transposée de cette façon dans l'islam ! La notion de père n'y est qu'humaine, avec ce qui va avec (éducation, autorité...). Il en découle que la fraternité humaine dans cette religion ne peut exister, du moins hors d'elle; L'islam n'est qu'une fraternité de croyants adeptes de son dogme, excluant tout sentiment humain envers ceux qui n'en sont pas (membres) : "N'appelez pas Dieu votre père, car c'est un blasphème" est-il dit. C'est ce trait-là qui caractérise l'islam et explique son fanatisme et son immense orgueil. Ce déni de la paternité divine le transforme en une abstraction désolante. De même l'idée musulmane de Dieu est atrocement étrangère à l'amour divin et, dans le Coran, Dieu n'est pas aimé, il est seulement vénéré et respecté... De même encore et en relation avec l'amour, l'islam ne reconnait ni de bienveillance ni de tolérance envers autrui (sourate 9, verset 29). La loi de Dieu n'est pas l'expression de sa nature morale mais de sa seule volonté arbitraire et s'il admet volonté et sagesse, l'islam ignore la bonté et l'amour divin, la justice et la paix ne s'y embrassent pas. Le croyant y est réduit au seul état d'esclavage religieux permanent, ce qui tranche énormément avec la conception chrétienne. On ne s'étonnera pas dès lors de l'état moral lamentable des sociétés islamisées : esclavage, traite d'êtres humains, concubinage et polygamie y sont des pratiques courantes depuis ce VIIème S. La conscience morale est complètement pétrifiée, le légalisme est la forme absolue du culte et toute vertu doit être la réplique de celle du prophète...Tout progrès est impossible et l'injustice est acceptée stoïquement...c'est une doctrine entièrement stérile... Pas de croissance, aucun fruit au cours de son histoire pour de nouvelles idées. Les mystiques soufis sont peu nombreux, en Turquie la "révolution" d'Atatürk est remplacée par la contre-révolution régressive d'Erdogan et les soi-disant printemps arabes ne durent qu'une saison. Allah est sans doute le dieu unique mais contrairement aux deux autres religions du Livre, c'est un dieu inconnu. L'islam s'est appuyé sur ces prédécesseurs mais a très mal compris, dans le sens de prendre avec soi, leurs messages. Il en est de même pour ce qui concerne cette autre partie théologique plus mystique et mystérieuse qui nous intéresse aussi : les anges et les démons, l'ange Gabriel par ex. qui y est même assimilé au St Esprit tout en étant le messager illustre doté d'une grande puissance; les démons qui y sont nommés "djinns" avec à leur tête Iblis, chef des armées démoniaques (Satan, le diabolos). On pourrait encore parler de la trinité, concept hors de portée de l'islam bien sûr, du Messie aussi, chez eux c'est bien entendu Muhammad leur prophète...du statut de la femme notamment, réduit à la sexualité des hommes et à la procréation (cf. l'actualité). Quant au culte c'est on ne peut plus simple : respect et pratique des fameux Cinq Piliers : prière, jeune, aumône, pèlerinage à La Mecque et...la guerre sainte ! En somme Islam signifie bien : soumission aveugle à la volonté absolue d'Allah.
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Dans le même temps que Voltaire on pourrait citer ce qu'à écrit Jean Meslier, prêtre de son état mais abhorrant toutes les religions et celle qu'il professe en particulier, dont le philosophe connaissait dit-on par cœur les écrits. Mahomet y est traité de "faux prophète" bien sûr et il a établi "ses lois et sa religion par tout l'Orient" sur des mensonges. Cet esprit "éclairé" n'y allait pas par quatre chemins comme l'on dit !


Revision [17791]

Edited on 2019-08-25 12:00:52 by JeanLouis
Additions:
Raisonner est bien le propre de l'homme ! Raisonnons donc sans résonner et revenons à nos "moutons" ou plus exactement à l'histoire d'une "vache rousse" dont parle aussi bien la Torah que le Coran, un animal bien plus rare que les brebis du quotidien des juifs ou des arabes, au propre comme au figuré, comme on va le voir.
Deletions:
Raisonner, comme on l'a déjà dit et lu au début de cet article, est bien le propre de l'homme ! Raisonnons donc et revenons à nos "moutons" ou plus exactement à notre "vache rousse" bien plus rare que les brebis du quotidien des juifs ou des arabes, au propre comme au figuré, comme on va le voir.


Revision [17790]

Edited on 2019-08-25 11:45:29 by JeanLouis
Additions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que Seida sache qu'il s'agit de tuer son propre père. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Deletions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que l'auteur le sache. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.


Revision [17789]

Edited on 2019-08-25 11:43:45 by JeanLouis
Additions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels). Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que l'auteur le sache. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Deletions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels) //. Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que l'auteur le sache. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.


Revision [17788]

Edited on 2019-08-25 11:42:17 by JeanLouis
Additions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre du "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, certes à mots couverts mais évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" et la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels) //. Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.// Enfin ces conclusions Voltaire les mettra en scène dans une de ses tragédies les plus célèbres présentant Mahomet le prophète comme un manipulateur et un pur politicien avide de pouvoir. La pièce met de plus en scène la violence meurtrière liée au fanatisme religieux induit. Le Fanatisme est la 1ère partie de ce titre dans laquelle on voit Seida, zélé adorateur de Mahomet qui le pousse à commettre un meurtre, un meurtre particulièrement horrible, un parricide, sans cependant que l'auteur le sache. La mise en scène récente à Genève de cette pièce provoqua évidemment de gros remous chez les musulmans locaux, faisant prendre conscience à toute leur communauté installée en Europe des limites de la liberté d'expression inhérente à leur religion et censée régler surtout leur vie civile, des limites très proches pour le fonds des fameuses "caricatures du prophète" qui ont déclenché la vague d'attentats en 2015 et qui, comme des répliques d'un tremblement de terre, n'en finissent pas par leur renouvellement périodique de gangréner et de dégrader l'état de la société française mais aussi européenne qui n'ont pas besoin de ces problèmes supplémentaires.
Dans le même temps que Voltaire on pourrait citer ce qu'à écrit Jean Meslier, prêtre de son état mais abhorrant toutes les religions et celle qu'il professe en particulier, dont le philosophe connaissait dit-on par cœur les écrits. Mahomet y est traité de "faux prophète" bien sûr et il a établi "ses lois et sa religion par tout l'Orient" sur des mensonges. Cet esprit "éclairé" n'y allait pas par quatre chemins comme l'on dit !
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives également sur cette même religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Deletions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" : la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels) //. Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.//
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives sur cette religion bien précise (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.


Revision [17787]

Edited on 2019-08-25 10:43:24 by JeanLouis
Additions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique portatif édité en 1764 où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" : la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite sans cependant qu'elle soit nommée, que l'on peut lire là une prédiction de ces évènements 250ans avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles. En voici quelques extraits : //Ces gens-là //(les fanatiques) //sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? // et il ajoute //Lorsqu'une fois le fanatisme a gangréné un cerveau, la maladie est presque incurable //(prenant en ex. les convulsionnaires liés aux prétendus "miracles de saint Pâris" - c'est ce que semblent déduire en partie les pouvoirs publics actuels) //. Il termine ainsi son article : //Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques et qui mettent le poignard entre leurs mains, ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs, dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait..... Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale //(il parle sans doute des guerres de religion si prégnantes encore en son temps)// c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre.//
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives sur cette religion bien précise (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Deletions:
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" : la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite que l'on peut lire là une véritable prédiction de ces évènements trois siècles avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles.
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives sur cette religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.


Revision [17786]

Edited on 2019-08-25 10:01:26 by JeanLouis
Additions:
** Comparaisons théologiques et onomastiques** :
**Les avis du philosophe Voltaire et de l'anthropologue Lévi-Strauss** :
Le philosophe Voltaire, référence majeure du fameux "Siècle des Lumières", a été mis en avant il y a quelques années chez nous par le rappel assez curieux d'ailleurs de son œuvre "Traité sur la tolérance" suite aux tristes attentats d'extrémistes religieux musulmans pour rappeler qu'en Europe on pratiquait cette vertu humaniste que rien ne saurait atteindre. Mais ce qu'il faut savoir surtout à ce sujet c'est qu'il y parle notamment du fanatisme religieux en général justement, entre autres musulman, évidemment pas en bien. Il a écrit aussi un passionnant Dictionnaire Philosophique où l'on trouve défini le terme même de "fanatisme" : la dérive des extrémistes liés à cette religion y est si bien décrite que l'on peut lire là une véritable prédiction de ces évènements trois siècles avant qu'ils n'arrivent. Il est vrai que la pratique en ce domaine se justifie des mêmes raisons de nos jours qu'il y a des siècles.
Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé pour sa part des conclusions très négatives sur cette religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.
Deletions:
** Comparaisons théologiques et onomastiques; l'avis de l'anthropologie par Lévi-Strauss** :
Enfin, Claude Lévi-Strauss, l'éminent anthropologue et ethnologue de renommée internationale, dans son œuvre maîtresse, "Tristes Tropiques" (1955) a en son temps rédigé des conclusions très négatives sur cette religion (cf. pp. 475 - 490) que l'on peut résumer dans cette phrase : "Les brefs contacts que j'ai eu avec le monde arabe m'ont inspiré une indéracinable antipathie." Il note que "Cette religion se fonde moins sur l'évidence d'une révélation que sur l'impuissance de nouer des liens au-dehors. (....) l'intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s'en rendent coupable. (....) Le seul moyen pour eux de se mettre à l'abri du doute et de l'humiliation consiste dans une "néantisation d'autrui"." Son indéracinable et raisonnée antipathie sera là jusqu'au soir ultime de sa vie, notamment dans une interview du Nouvel Obs en 2002 et il ne retranchera rien pour l'édition de ses œuvres à La Pléiade en 2008.


Revision [17736]

Edited on 2019-08-18 17:10:23 by JeanLouis
Additions:
Il est probable en tous cas que ces rapports notables aux religions essentielles de la région moyen-orientale peuvent ne pas être étrangères à l'origine même de l'Islam comme on l'a vu précédemment dans l'article narrant l'apparition historique de l'islam.
Le Coran est par ailleurs écrit originellement dans une langue arabe très archaïque qu'il est bien ardu de déchiffrer d'une façon certaine (on a dit l'époque de sa création). Contrairement à la Bible qui a une certaine logique dans sa composition, le Coran est un ensemble de sourates disparates, 'cousues' entre elles de façon arbitraire, retranscrites de mémoire plus de 200ans après la mort du prophète qui les a reçues (les évangiles chrétiens ont été écrits quelques dizaines d'années seulement après la mort de Jésus). Souvent d'un intérêt désuet et inapproprié à la société moderne, ces textes sont pourtant encore de nos jours considérés par l'écrasante majorité des musulmans comme la parole absolue d'Allah, dont il ne peut être permis de changer ou ôter un iota. Beaucoup d'interprétations sont possibles et ont été utilisées suivant souvent ce que l'on voulait y trouver également; c'est sans doute vrai aussi de la Bible, mais pour cette dernière il faut bien considérer qu'ayant été écrite bien des siècles auparavant et sur un long temps (ancien testament surtout) il n'est pas possible de mettre sur un même plan de compréhension linguistique ces deux textes.
Deletions:
Il est probable en tous cas que ces rapports notables aux religions essentielles de la région moyen-orientale peuvent ne pas être étrangères à l'origine même de l'Islam comme on l'a vu précédemment dans l'article narrant l'apparition historique de l'islam. Selon également une école de pensée soutenue notamment par un théologien musulman allemand converti à l'âge de 16ans, la dernière religion apparue dans la région pourrait n'être qu'une des multiples dissidences qui, comme le christianisme cinq siècles plus tôt, aurait réussi à s'imposer. Une dissidence du judéo-christianisme mais qui s'en est écarté beaucoup en s'adaptant à la population arabe des tribus nomades d'Arabie. Le futur grand prophète arabe Mahomet s'y serait d'abord converti, du moins n'y fut-il pas opposé comme on l'a vu; ces chercheurs s'appuient sur le message de Waraqa Ibn Nawfal, cousin et mentor spirituel de sa 1ère épouse, qui fut on l'a vu aussi, l'un de ces prêtres judéo-chrétiens ou nestoriens. De plus ils sont questionnés par le fait que, selon le Coran, la fameuse révélation divine dont aurait joui le prophète se soit arrêtée pendant trois ans après la mort de Waraqa, ce qui fait de lui un personnage d'autant plus essentiel de l'histoire de l'Islam. Les mêmes s'appuient sur d'autres indices comme de rares témoignages de ce temps dont celui de l'évêque de Damas, qui voient les musulmans comme des hérétiques chrétiens; et puis il y a des inscriptions chrétiennes datées de 570, année de naissance de Mahomet qui ressemblent fort à la "chahada", la profession de foi islamique (sauf que Jésus y tient la place de Mahomet) des inscriptions d'ailleurs identiques à celles qui ornent la fameuse Mosquée du Rocher à Jérusalem, construite dès 690 !
Le Coran est par ailleurs écrit originellement dans une langue arabe très archaïque qu'il est bien ardu de déchiffrer d'une façon certaine (on a dit l'époque de sa création). Contrairement à la Bible qui a une certaine logique dans sa composition, le Coran est un ensemble de sourates disparates, 'cousues' entre elles de façon arbitraire, retranscrites de mémoire plus de 200ans après la mort du prophète qui les a reçues (les évangiles chrétiens ont été écrits quelques dizaines d'années seulement après la mort de Jésus). Souvent d'un intérêt désuet et inapproprié à la société moderne, ces textes sont pourtant encore de nos jours considérés par l'écrasante majorité des musulmans comme la parole absolue d'Allah, dont il ne peut être permis de changer ou ôter un iota. Beaucoup d'interprétations sont possibles et ont été utilisées suivant souvent ce que l'on voulait y trouver également; c'est sans doute vrai aussi de la Bible, mais pour cette dernière il faut bien considérer qu'ayant été écrite bien des siècles auparavant et sur un long temps (ancien testament surtout) il n'est pas possible de mettre sur un même plan de compréhension linguistique ces deux textes.


Revision [17727]

The oldest known version of this page was created on 2019-08-17 11:43:02 by JeanLouis
Valid XHTML :: Valid CSS: :: Powered by WikkaWiki