Wiki source for litter2


Show raw source

{{image class="center" alt="Le Wiki des AMIELs" title="Le Wiki des AMIELs" url="../amielwiki.jpg"}}
[[http://www.nom-amiel.org/wp/a-propos/ Contribuez]]
**La tragédie antique "PAULUS"** :
C'est sans nul conteste la plus ancienne pièce de théâtre consacrée à un aemilien. L'auteur Pacuvius est un dramaturge et poète antique qui vécut entre -220 et -130; il est de plus connu comme le tout premier tragédien latin et cette pièce est une tragédie, écrite dans le genre "fabula praetexta", malheureusement seul nous en est resté le titre. On ne sait s'il s'agit pour cet auteur de parler du sort d'Aemilius Paulus mort à Cannes ou de la gloire de son fils le Macédonien qui vainquit Persée à Pydna, mais la plupart penchent pour la seconde possibilité. En ce cas cette tragédie à caractère historique fut aussi une célébration et a pu être représentée en -168 lors des 'ludi' qui honorèrent la fameuse victoire et surtout celui qui l'a conduite.
**AMELHA** :
Personnage féminin d'une pièce de théâtre incarnant une villageoise des pays audois durant la malheureuse période cathare du Languedoc, au XIIIème S., "Aurenca", pièce écrite par Michel Granvale en 2000.
**Hommage au BRUITEUR LOUIS AMIEL** :
En 1983 fut donné à Paris un spectacle théâtro-musical dénommé "Inside"; composition pour bruiteur, violoncelle, trompette et bande, alliant le théâtre à la musique et aux sons. Le bruiteur de Radio-France, Louis Amiel, père d'autres bruiteurs de la même maison de radio, y joue son propre rôle dans un scénario assez pathétique où il tente désespérément de quitter sa 'doublure'.
**ALLAMIEL**:
Nom d'une île de la Connaissance dans la géographie d'un monde appelé "Le monde de Délès". C'est une île des grands penseurs et donc celle où peuvent se forger des hérésies; tout un monde fictif créé par l' Association de Jeu nord-iséroise "Légendes d'autres Mondes" en 2004.
**MARIA AMIEL** :
Personnage féminin d'un jeu vidéo à caractère historique, "Assassin Creed" du cycle "Legacy Project", où il apparait dans le chap. 1 de 'Science divine'. C'est une hermétiste du XVIème S. assistante d'un professeur alchimiste. En quête d'un traité précieux du Maître en la matière alchimique, Nicolas Flamel, Giovanni Borgia croisera sa destinée avec Maria. Ils tomberont amoureux pendant cette quête devenue commune et se marieront...
**JENNIFER AMIEL** :
Personnage féminin de la série originale télévisée de FR3 "Plus belle la vie". Beaucoup de personnages ont plus ou moins 'traversé' l'un ou plusieurs des épisodes de ce roman-fleuve vedette des débuts de soirée de la chaîne qui n'en finit pas.... Quelques uns y sont fortement enracinés et en forment en quelque sorte l'épine dorsale. Ce n'est pas le cas de cette pauvre fille portant notre patronyme dans la saison 6 (2008-2009). En effet ce personnage amielien tenu par Clary Demangeon est malheureusement étranglé par un certain Omar Kamsky dès la mi-mars 2009, un rôle bien court pour une si longue série !
**PRINCE AMIEL DE GILAD et autre** :
Personnage de "Skybowl", cité dans le livre "Stonghold (1991) il est présent aussi dans le 3ème livre de la trilogie "Dragon Star", dernière partie du roman fantastique écrit par Mélanie Ravn (Daw Book Publ., 1993). Ce prince au nom biblique prend le contrôle d'une armée de physiciens et aide la population selon ses moyens.
Un autre Prince Amiel est l'objet d'une histoire d'amour pour adolescents "A mysterious man" de Binabasa Mo Ang, écrit partie en anglais et partie en langue philippine.
** AMIHEL et AMIEL dans les romans de "fantasy"** :
- Amihel : personnage féminin du roman fantastique "Les lunes de sang" de Anaïs Cros (Armada Fantasy, 2015).
- Amiel : personnage du Livre II de la série Seer King Trilogy : "The Demon King", série fantastique de Chris Bunch (Prologue Books, 2012).
**AMIEL et Satan au cinéma** :
Nom d'un personnage d'un film muet tourné en 1926 d'une durée de 1h30 réalisé par D. W. Griffith sur une nouvelle de Marie Corelli : "The sorrows of Satan", "Les chagrins de Satan" en français, drame dans lequel le "mythe de Faust" d'un pacte avec le Diable contre des avantages permanents est réactualisé par ce réalisateur dans le Londres des années 1920, celui des night-clubs mondains des années folles.
**AMIEL dans deux B.D. de la décolonisation** :
Héros noir au propre comme au figuré de deux bandes dessinées :
- Dans "Les Epines du Christ" d'Arnaud Flo'ch paru chez Carabas en 2008, l'intrigue bâtie entre amour et haine, entre un passé de colonie et un présent libérateur, permet à l'auteur de décrire la difficile gestion de la décolonisation en marche en Afrique, ici au Cameroun.
- Mais le personnage d'Amiel est surtout campé dans une autre B.D. du même auteur (et de J-L Flo'ch) "Le camion des yeux" qui se passe toujours dans le même cadre, en 1965; Amiel y est présenté comme énigmatique, ses actes semblent faire référence au spiritisme et aux envoûtements; Mathilde, étudiante en philosophie, est accueillie par cet homme qui, bien qu'instituteur a effectivement un comportement étrange; on pénètre alors dans une atmosphère fantastique entre post-colonialisme et sorcellerie ancestrale (2 tomes).
**Professor AMIEL ** :
L'acteur québécois Jacques Tourangeau a tenu le rôle de ce personnage dans un film de 2004 "Le Prince et moi".
**Déesse AMIEL** :
C'est dans le film de science-fiction "Ark ", sorti sur les écrans en 2004, qu'apparait ce nom féminin; c'est celui d'une déesse, grande prêtresse de l'Ark, gigantesque ville-vaisseau qui devrait permettre aux Cévéens, l'un des deux peuples de la planète Alcyone de quitter celle-ci car étant trop polluée la vie y est en voie d'extinction et la guerre civile y fait rage avec l'autre peuple. La fille de la déesse Amiel parviendra-t-elle à sauver Alcyone ?
**L'ARCHEVEQUE PIERRE AMIEL de NARBONNE en B.D.** :
Tiré de la série "La chute" narrant l'issue de la funeste Croisade contre les Albigeois, dans le tome I (sur 2) parlant de la préparation du siège et de la prise de Montségur, les auteurs donnent ce portrait de Pierre Amiel (planche 5, vue 2) : Amiel de face, porte des habits luxueux, et la tonsure, il est très gros, mais ses traits sont extrêmement fins : nez, yeux, bouche, petit menton fragile disparaissant presque sous le goître. Un portrait qui me rappelle quelqu'un (enfin il y a quelques temps) !
**AMIEL Soldat Israélien** :
Une récente série dramatique israélienne (2009) de Gidéon Raff, "Hatufim" (kidnappé en hébreu) présentée immédiatement comme un chef d'œuvre de la télévision de cet état et dont le remake américain Homeland est sans doute plus connu chez nous, raconte l'histoire de trois soldats israéliens Nimrod, Uri & Amiel capturés 17 ans plus tôt par des islamistes lors d'une mission au Liban. Au retour de deux d'entre eux après d'âpres négociations un mystère reste à élucider : Où est passé le dernier, Amiel ? Il serait mort rapidement et les services secrets israéliens chercheront pourquoi dès les épisodes 2 & 3 de la saison I; il a ses funérailles dans l'épisode 5. Le retour de ces hommes est un sujet brûlant en Israël comme l'on s'en doute.
Mais arrive l'impensable dans la saison II : Celui que l'on pensait mort (et qui fut enterré) est bien vivant et libre. Cette révélation du Mossad va tout bouleverser; il est l'objet de la part de l'une de leurs cellules d'une surveillance pour parvenir à décapiter le groupe terroriste à travers l'Opération Judas; mais que recouvre cette opération et qui est finalement cet Amiel ? Ou plutôt qu'est-il devenu ? Est-il d'ailleurs souhaitable de le savoir ? Est-ce une métaphore parmi d'autres du caractère inextricable du conflit israélo-arabe ? C'est un jeu double que distille le réalisateur autant dans la construction narrative que le propos et qu'il cristallise à travers la figure d'Amiel, combattant et époux. Un homme en proie au doute, dont les interrogations identitaires, sur sa place près des siens (mais lesquels ?) et au monde font étrangement écho à celles de ses frères d'armes; et par leur universalité, se prolonge de manière troublante, jusqu'à nous. Ce qui est certain en tous cas dans ce nouveau chapitre c'est qu'il donne à voir une des plus belles histoires d'amour impossibles filmées actuellement, celle d'Amiel avec Laïla la palestinienne lesquels se marient devant ...Allah : Que comprendre ? La "nouvelle identité" d'Amiel est explosive, dérangeante : il a adopté la religion de ses bourreaux et de sa femme, l'islam, jusqu'à devenir l'un de leurs leaders. Sur ces bases provocantes pour les juifs mais malheureusement tout à fait plausibles cette série 2 développe une action encore plus dense avec des personnages aux destinées paradoxales. Par un parfait dosage entre thriller et drame intimiste mettant en scène les tiraillements de la société israélienne, jusqu'au bout sans doute cet Amiel restera une énigme : l'insondable Amiel, figure du traître comme du héros, devient emblématique de l'ambigüité qui entoure toute cette série qui a été diffusée sur Arte en 2013 pour la saison 1 et mai 2015 pour la saison 2.
**JEANNE AMIEL Pyrénéenne** :
Marie-Line Cauquil-Chambert une tarnaise contemporaine a écrit une pièce de théâtre populaire pour rendre hommage à son ancêtre paysanne, fille des Pyrénées. Une histoire trop longtemps enfouie qui montre comment ces filles de nos austères montagnes d'autrefois rêvaient de liberté, véritable leurre vu le sort qui leur fut commun. Le titre complet de cette pièce représentée pour la 1ère fois à Lavaur (81) fin octobre 2012 est "Jeanne Amiel, femme pyrénéenne du village de Fau". Un livre "Les monologues de Jeanne Amiel" a été écrit en 2014 par Jean-Claude Redonnet.
**AUGUSTA AMIEL LAPIESKI** :
Titre d'un court-métrage de Franck Renaud (France 2011) présenté au Festival du Court-Métrage de Lille : A la mort de sa mère, Anne va forcer la porte de la maison de sa grand-mère Augusta qu'elle n'a jamais connu. Dans l'écho des pièces abandonnées, elle va chercher les preuves physiques de son existence. Au fur et à mesure de ses découvertes Anne va nourrir sa fiction, sa représentation de sa grand-mère Augusta Amiel Lapieski, l'écrivaine porteuse de valise du FLN algérien (réseau Jeanson), son secret amour et son enfant caché aussi qu'elle eut en Algérie.
**THOMAS AMIELLO dans un OPERA-COMIQUE** :
Héros d'un opéra-comique des années 1945-50 qui fut célèbre en son temps, Thomas Amiello est un pêcheur surnommé Masamiello par l'élision du début de son prénom pour les intimes. Tiré d'une histoire réelle d'un homme de ce nom né à Amalfi, sur la côte italienne napolitaine en 1620 qui meurt précocement, assassiné à Naples en 1647; cet homme fut un héros de la révolte contre le vice-roi espagnol de Naples. Victime d'un sombre drame il faut dire que bien que beau garçon il est à demi-fou mais assez beau parleur pour devenir l'idole d'une plèbe encore plus folle que lui, ce qui les mènera à la folle République Napolitaine (1647-1648) mais on était alors loin d'avoir tout vu. L'histoire vraie et la suite est racontée dans "Histoires des conjurations, conspirations et révolutions célèbres, tant anciennes que modernes" T.6 : "Thomas Amiello" de Dupont du Tertre, édité en 1756 chez Duchesne à Paris.
**AMELIUS L'Ancien dans STARGATE** :
Amelius est un personnage important de la série Stargate. Cet Alteran (ancien) qui vivait -tenez-vous bien !- il y a plusieurs millions d'années avant le projet de "La Porte des Etoiles" apparait en effet dans "Stargate : L'Arche de Vérité". Il vivait sur la planète où se trouve la cité Celestis avant de devoir fuir avec les derniers Anciens vers la Voie Lactée car les Oris devenaient trop nombreux et trop puissants ! Amelius est un brillant scientifique, cité comme l'un des plus grands héros Lantiens (?) et il est surtout l'inventeur de L'Arche de Vérité, l'artefact, appareil utilisé dans Stargate-1 pour vaincre ces Oris; pourtant ses collègues Anciens refuseront d'utiliser son arme. Il sera aussi le créateur d'un autre formidable appareil nommé "La Porte des Etoiles", ni plus, ni moins !! Cette porte étant un vortex ou "trou de ver" destiné à pouvoir (enfin !) manipuler l'espace-temps et voyager indifféremment dans ces deux directions spatio-temporelles, rêve sans doute de tout être humain !
**AMIEL dans la pièce de thêatre TRENCAVEL** :
Une pièce de théâtre a vocation historique intitulée "Trencavel" jouée dans les années 1960 au Théâtre Montparnasse à Paris racontant la vie de la dynastie comtale carcassonnaise du moyen-âge des Trencavel, fait entrer en scène deux personnages très amieliens; Amiel joué par André Le Guen et Amelius dont le rôle est lui-même tenu par un acteur au nom apparenté : Pierre Amiot.
**AMIEL au théâtre d'ARRABAL : du brut, du nu, du cru** : (une "mise en bouche" est nécessaire je pense, d'où la longueur de cet article)
Pour Fernando Arrabal né pendant le franquisme espagnol, Franco et son système sont à détruire; le franquisme est responsable de la dénonciation de son père par sa propre épouse alors qu'il n'a que 4ans; ce père fut interné dans un asile d'où il finira par disparaitre sans laisser aucune trace. Dans le théâtre du fils il n'y aura aucun confort intellectuel ou moral pour le spectateur : ses personnages sont imprévisibles dans leurs actes et ses procédés théâtraux se mélangent sans vergogne. Il fait défiler des individus sadiques, abrutis, illuminés, opprimés, des saints aux allures de bourreaux etc...Cultivant ces extrêmes du mauvais goût avec un raffinement esthétique du sacrilège comme du sacré, une mise à mort comme une exaltation de la vie....! La pièce intitulée "Et ils passèrent des menottes aux fleurs" écrite en français à Paris en 1955 fait partie de son théâtre de guérilla qui s'apparente à des tentatives d'agitation culturelle à fonction révolutionnaire. La représentation commence avant le début de l'action par une "mise en condition" des spectateurs, un à un à l'entrée de la salle. Amiel, qui est l'un des personnages prisonniers de Franco, subit sa détention et la fait subir aux spectateurs; il est le seul parmi ses camarades à parvenir à rêver à sa femme et à un univers heureux. Arrabal auteur d'avant-garde rompt avec l'académisme comme le font les surréalistes en littérature ou en peinture; il produit l'essence de la modernité dans son théâtre de l'absurde qu'il partage avec Jean Genet, Eugène Ionesco et Samuel Becket. Cette pièce comporte une cruauté de type sado-masochiste où les personnes sont emprisonnées dans un univers numéroté, où l'érotisme et la scatologie sont poussés à l'extrême, ce qui vaudra à Arrabal finalement d'être arrêté en 1967 mais une campagne de ses collègues de l'absurde théâtral le fera libérer rapidement. Il a matérialisé là les cauchemars et les tortures des accusés avec une âpreté blasphématoire insupportable. Amiel avec un certain Katar évoquent un souvenir d'Amiel avant d'entrer en scène dans le pénitencier. Puis on voit Amiel discuter avec sa compagne Lelia de son engagement pour libérer son pays, la France. Plus tard Amiel retourne à la réalité ...dure réalité de l'enfermement. Oui insupportable est ce théâtre où l'humour, l'amour, l'érotisme, l'angoisse, la panique, la mort se mêlent : on y voit parait-il Amiel "chier" avec Katar dans un pot de céramique avec une intensité presque rituelle l'amenant même à des pensées philosophiques essentielles touchant à l'infini, la vie et la mort. Ailleurs dans une scène explicitement sexuelle, Amiel rêve qu'il quitte la prison et se trouve avec Lelia nue, ses genoux sur sa poitrine, avec une délicatesse quasi-religieuse il se met à se masturber, recueille son sperme dans sa main et le verse délicatement dans la bouche de Lelia comme le prêtre donne la communion : scène puissante on n'en doute pas, mais d'un mysticisme comme d'un réalisme sans doute difficile à assurer pour des acteurs qui, heureusement, n'ont pas à "jouer" de tels rôles trop souvent même s'il ne s'agit que d'un rêve ! Tout cela est de nos jours heureusement plutôt du passé, qui se soucie de l'absurde de nos jours, la réalité le dépasse bien souvent (cf. par ex. le film polémique "Love" (2015) !
Cette pièce assez "hard" fut curieusement montée chez les pudiques américains, à Broadway (New-York) en 1972 sous le titre "And they put hardcuffs on the flowers" (cf. "Guernica and other plays..." F. Arrabal (pour cette pièce : Grove Press, 1973).
**L'ange DAMIEL au cinéma** :
Cet ange qui est censé sacrifier ses pouvoirs transcendants pour faire l'expérience des limites de la vie humaine (y compris dans le domaine amoureux) a été porté à l'écran dans "Les ailes du désir" fameux film du grand cinéaste Wim Wenders en 1987. Ce film a reçu le prix du meilleur réalisateur et celui de la mise en scène à Cannes la même année. Le film utilise des thèmes et symboles du poète allemand Rilke pour qui les anges sont bien une réalité transcendante. "Les Ailes du Désir" a aussi été une pièce de théâtre.
**Les AEMILIUS en B.D.** :
Tout comme en littérature on ne saurait citer toutes les bandes dessinées comportant des Aemilii; un seul ex. quand même : Scipion Aemilianus, le destructeur de Carthage puis de Numance a été croqué dans plusieurs dessins de John Leech insérés dans "The comic history of Rome" de Gilbert Abbott & A. Beckett (Bradbury, Evans & Co, London) paru en 1850 !
**BARON AMIEL personnage de scénario** :
C'est dans un scénario de Jean-Côme Noguès intitulé "Le vœu du Paon" construit pour être une chronique cathare du XIIIème S. et destiné à des élèves du Collège de Garzailles à Carcassonne pour leur faire découvrir l'histoire régionale, que l'on trouve ce personnage. Il intervient dans le chap. 2 intitulé "Jordi"; associé curieusement soit au "Mas Amiel" soit au "Col d'Amiel", toponymes assez proches d'une région des Corbières dont il est censé être le seigneur. C'est un moyen vivant et original pour faire découvrir surtout ce que put être cette religion dont les principes sont si éloignés de notre pensée actuelle mais aussi la géographie départementale de l'Aude; c'est un véritable cours d'histoire-géo ludique sur des références audoises en somme pour ceux qui y sont né et qui, pour la plupart vont y vivre, s'ils le peuvent.
**Le film : AMELIA** :
Pionnière américaine de l'aviation, Amelia Earhart est très connue aux Usa simplement par son seul prénom, ce qui lui vaut de figurer ici. Jusqu'au pic des Montagnes Rocheuses consacré à son nom complet mais qui est habituellement seulement désigné par Amelia. Un film vient de lui être consacré (2009), il a lui aussi pour simple titre "Amelia"; ce fait remarquable en soi qui ne désigne que cette femme dans leur mental par son seul prénom est à rapprocher de l'intérêt que les Américains portent à celui-ci; il est diffusé chez eux aussi par Emily et ses multiples variantes (voir onomastique) sans compter la toponymie.
**DORA AMIEL Reporter** :
Personnage d'un court téléfilm policier se déroulant dans le village de St Marcel; deux journalistes couvrent l'enquête du meurtre de "La Petite fille au costume marin" (réalisation Marc Rivière, 1999). Elle est une jeune reporter ambitieuse avec qui la chroniqueuse Reine Cadalen doit faire bon gré malgré équipe.
**SUSANNE AMIEL Modiste meurtrière** :
Le prénom est bien Susanne, à l'allemande sans doute, car c'est le personnage d'un roman d'une franco-allemande devenu rapidement un thriller radiophonique. Ecrit en 1933, "Arsenik", par Claire Goll, raconte un meurtre par poison comme l'indique le titre lui aussi à l'allemande: La jeune modiste chapelière Susanne Amiel regrette d'avoir vendu son magasin à son amie Gaby; elle prend en charge un autre magasin situé en face, de papeterie. Il va alors se développer chez elle progressivement, jalousie puis haine et finalement éclatera l'horreur de la bête humaine; elle devient une meurtrière. C'est un roman de circonstance, écrit par son auteur alors qu'elle acceptait parait-il mal la rupture d'avec son mari. Mais le nom choisi pour cette femme est volontairement visiblement une référence juive, de même que son métier: bien que l'auteur ne l'ait pas explicitement indiqué c'est ce que l'on affirme dans la documentation à ce sujet en tous cas; et on ne peut s'en étonner pour la période précédant la deuxième guerre mondiale, l'ambiance anti-juive de la société allemande n'étant pas à démontrer. Totalement inconnu en France où pourtant se déroule l'intrigue, ce roman a été longuement commenté et plusieurs fois réédité en Allemagne jusqu'à nos jours.
**AMIEL Directeur de production** :
Frédéric Amiel est le principal personnage du film "The Bad and the Beautiful" de Vincente Minelli (1952). C'est l'histoire d'un jeune directeur de production (Amiel) qui aliène tout autour de lui. En français ce film a été diffusé sous le titre "Les ensorcelés"; c'est une œuvre majeure de V. Minelli, la meilleure sans doute, qui a obtenu d'ailleurs de nombreux oscars. Le rôle d'Amiel est joué par Barry Sullivan, il y a aussi Vanessa Brown dans le rôle de Kay Amiel son épouse et un jeune Chris Olsen qui est leur fils. Kirk Douglas (Jonathan Shields dans le film) lui vole un projet de film; l'intrigue qui s'ensuit permet de brosser son portrait par une actrice, un réalisateur et un écrivain qui tour à tour l'ont aimé puis détesté.
**AMIEL et AURIEL** :
Auriel est l'alter-ego masculin d'Amiel; entités inter-galactiques dans une œuvre de science-fiction "Les Jardiniers de Gaïa", ils se réincarnent à volonté et viennent pérégriner chez nous, sur la Terre, pour tout nous apprendre, ce qui n'est pas sans rappeler certains mythes antiques (voyez ce sujet !). Le principe comme le but d'Amiel étant harmonie et beauté, elle sera, puisqu'il s'agit bien d'une femme (entité féminine pour ne choquer personne), une "Jardinière d'Ames" sur Gaïa, notre Terre, ce qui peut alors nous rappeler combien notre nom est aussi "angélique" (voyez aussi ce sujet !).
**The KING ELIAM** :
Ce roi imaginaire est présent dans un roman de science-fiction pour jeunes de Wayne Thomas Batson "The rise of the Wyrm Lord"; il est le noble et avisé roi d'Alleble, le royaume principal du Realm. C'est une trilogie dont le 1er tome est "The Door within" et le dernier "The final Storm"; ce roi de fiction est présent dans les trois parties et il semble représenter autant Dieu l'Eternel que ses trois personnes avec Jésus et l'Esprit-Saint, autant celui qui a tout créé dans l'Univers, que celui qui est mort parmi les hommes et que celui qui vit en permanence dans leurs cœurs; c'est encore un nom joint à une signification que nous connaissons bien depuis l'ancien testament biblique et la signification de ce nom hébreux ici retourné.
**AMIEL à ARQUIA** :
Amiel est un personnage du roman de science-fiction "Devas os mensageiros" de Adeline Schaewer (2007); il appartient au clan Maltwood et est adjudant d'Arquia.
**AMIEL dans LE BEL ÂGE** :
Le Bel Âge est une série de BD. Le tome 3 intitulé Révélation" est une chronique sociale puissante et juste, orchestrée de main de maître par Merwan. C'est l'histoire de trois jeunes filles colocataires et de leurs copains respectifs Vincent et Amiel, qui finissent par entrer en conflit; l'une d'elles Violette part chez ses parents avec Amiel qui a passé la nuit avec elle. Amiel fait la connaissance du père de Violette et tout baigne....
**ZA'AMIEL** :
Za'Amiel désigne un groupe de combattants d'élite, c'est une sorte de compagnie futuriste de chevaliers d'un roman de science-fiction "Ivory sword ; The Lore of Dayone" de A.A. Wotfner (Publ. America, Baltimore, Usa, 2005).
**AMIEL en polonais** :
Nom de l'un des personnages principaux d'une pièce dramatique écrite en polonais "Tragedia Achillesa" de Waclaw Kubacki (Wydawn, Poznanskie, 1972).
**AMIEL d'une série fantastique** :
Personnage de "Station Pérégrine" (2011, T.4 : Interférences) de la série "Le cycle de Per. 2" de Pascal Carretier. L'auteur, professeur de SVT est un amateur de science-fiction depuis son jeune âge et il n'en est jamais sorti !
Valid XHTML :: Valid CSS: :: Powered by WikkaWiki